répondis: Moi, je suis le rêveur;
m'en vais doucement, côtoyant la double arche
De vos ponts, l'oeil baissé, car j'ai peur, quand je marche,
D'écraser un insecte ou bien quelque humble fleur.
butine, en passant, ou le rire ou le pleur,
Car la vie, ici-bas, a toujours ces deux choses